Privatisation n’est pas synonyme de bonne gouvernance - Les Débats -
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Privatisation n’est pas synonyme de bonne gouvernance
La privatisation repointe son nez au Maroc. Et ça se sent jusque dans les lignes du PLF 2019. On avait arrêté les privatisations en 2008. 10 ans après, on comprend que la machine reprend puisque le gouvernement prévoit des recettes de privatisation de près de 5 milliards de dirhams dans le projet de Loi de Finance de l’année prochaine, pas moins de 5,6 milliards de Dirhams en réalité, si l’on en croit les chiffres du ministre de l’Économie et des Finances, Mohamed Benchaaboun.
By Sara Rami & Bouchra El Azhari
25 October 2018